Jeune joueur de l'ASON (Ligue B), Hugo Lecat nous parle de lui, de ses débuts à tourcoing, et de la saison de son club, qui "n'a pas eu de chance".
J’y ai découvert le haut niveau |
1. Pouvez-vous présenter en quelques mots ?
Hugo Lecat, j’ai 22 ans, je suis volleyeur pro à l’ASON et étudiant en Licence Management – S.T.A.P.S.
2. Pourquoi le volley ?
C’est un peu de famille car mes parents ont joué tous les deux à haut niveau donc ça s’est fait naturellement.
3. Avant de parler de votre saison et de votre club actuel, vous pouvez nous parler de votre parcours en jeune ?
Oui, j’ai débuté au Stade Poitevin volley-ball en Benjamin. J’y ai passé 7 saisons avec un titre de champion de France cadet, d’excellents souvenirs ! J'ai aussi fait les sélections jeunes en équipe de France et le Mondial au Mexique, en 2015.
4. Avant Orange, vous étiez dans le Nord, à Tourcoing. Que retenez-vous de vos années passées là-bas ?
Beaucoup de choses, j’y suis resté 3 ans, c’est là-bas que j’ai signé ma première convention de formation avec ensuite un contrat d’aspirant pro. J’y ai découvert le haut niveau et je garde de supers souvenirs.
Oui, j’ai débuté au Stade Poitevin volley-ball en Benjamin. J’y ai passé 7 saisons avec un titre de champion de France cadet, d’excellents souvenirs ! J'ai aussi fait les sélections jeunes en équipe de France et le Mondial au Mexique, en 2015.
4. Avant Orange, vous étiez dans le Nord, à Tourcoing. Que retenez-vous de vos années passées là-bas ?
Beaucoup de choses, j’y suis resté 3 ans, c’est là-bas que j’ai signé ma première convention de formation avec ensuite un contrat d’aspirant pro. J’y ai découvert le haut niveau et je garde de supers souvenirs.
On a pas eu de chance ! |
5. Pourquoi avoir choisi Orange ?
Je n’avais pas beaucoup de temps de jeu au niveau professionnel à Tourcoing et quand l’opportunité de signer dans un club prêt à me lancer en Ligue B je n’ai pas hésité !
6. Que pensez-vous de la saison de votre équipe ?
Je dirais qu’on n’a pas eu de chance, le club a eu un problème financier en début de saison et nous avons dû nous séparer de 2 joueurs majeurs alors que nous faisions un début correct. Maintenant, les finances sont saines et le club veut reconstruire avec les jeunes.
7. Est-ce que, outre les soucis financiers, vous allez pouvoir tenir les objectifs de débuts de saison ?
L’objectif était d’être le plus haut possible et comme je l’ai dit avec ces deux départs la suite est compliquée... Donc non l’objectif ne sera pas atteint…
5. Pourquoi avoir choisi Orange ?
Je n’avais pas beaucoup de temps de jeu au niveau professionnel à Tourcoing et quand l’opportunité de signer dans un club prêt à me lancer en Ligue B je n’ai pas hésité !
6. Que pensez-vous de la saison de votre équipe ?
Je dirais qu’on n’a pas eu de chance, le club a eu un problème financier en début de saison et nous avons dû nous séparer de 2 joueurs majeurs alors que nous faisions un début correct. Maintenant, les finances sont saines et le club veut reconstruire avec les jeunes.
7. Est-ce que, outre les soucis financiers, vous allez pouvoir tenir les objectifs de débuts de saison ?
L’objectif était d’être le plus haut possible et comme je l’ai dit avec ces deux départs la suite est compliquée... Donc non l’objectif ne sera pas atteint…
© Pascal Dekens
Le sport est au centre de nos vies ! |
8. Vous aviez dit que le club doit se reconstruire avec ses jeunes, quelles actions le club met en place à leur sujet ?
Je ne suis pas trop impliqué à ce niveau, mais je sais que le club se déplace dans pas mal d’écoles afin de faire découvrir notre sport et essayer de trouver des licenciés dès le plus jeune âge.
9. Comment vous envisagez la fin de saison ?
Il ne reste que deux matchs de saison régulière, nous allons tout faire pour finir de la meilleure des manières.
10. Vous avez un frère qui joue au volley, quelle relation entretenez-vous ? Le sport est un pilier de celle-ci ?
Exact, au centre de formation de Montpellier depuis 1 an ! On se soutient mutuellement, on s’encourage et on est attentif aux résultats de l’autre, le sport est au centre de nos vies c’est sûr !
Par Hugo Bâcle